Analyse-moi ça

En vrai mafieux qui se respecte, Paul Vitti passe ses journées entre règlements de comptes, passages à tabac, complots et dégustation de pasta. En tout bon psychiatre qu’il est, Ben Sobel, s’ennuie à longueur de journée en écoutant les confidences souvent inintéressantes de ses patients… décide d’engager Sobel pour le guérir… Rien ne prédestine donc ses deux personnages à se rencontrer et pourtant, Vitti, victime de crises d’angoisse le faisant, bientôt, ressembler à une mauviette,, Si le psychiatre new-yorkais Sobel ne croit plus guère à l’efficacité de son savoir sur des patients atteints de névroses d’une banalité consternante, il va changer d’avis quand Paul Vitti, connu comme l’un des gangsters les plus puissants de New York, franchit autoritairement la porte de son cabinet., Un boss mafieux en pleine dépression échoue sur le divan d’un psy new-yorkais. Un savoureux comique de situation, où de Niro cabotine sans complexes. Paul Vitti, un parrain de la mafia new-yorkaise célébrissime et sanguinaire, est en pleine dépression. Il n’arrive plus à dormir et doit se cacher de ses hommes pour pleurer. Escorté de ses gardes du corps, il vient en secret consulter un psy choisi au hasard, Ben Sobel. Contre toute attente, une relation thérapeutique à rebondissements se noue entre les deux hommes…, Paul Vitti est un des plus grands gangsters new-yorkais. Il a grandi et a été préparé à ses futures responsabilités par Manetta qui fut abattu lui-même quelques années plus tôt. Mais quand Paul Vitti doit assumer son rôle en tant que meneur de sa famille de meurtriers, il commence à avoir des troubles respiratoires. Il ne peut dormir, il est distant et préoccupé pour sa femme et ses enfants ; sa maîtresse se demande pourquoi il ne s’intéresse plus à leur relation; ses proches s’inquiètent de ses soudaines crises d’angoisse. C’est alors qu’il rencontre Ben Sobel, thérapeute réputé. Ben suit des dizaines de patients aux histoires parfois bien ennuyantes et ridicules. Paul Vitti lui demande de guérir ses excès de panique. Tout de suite et complètement. Au départ, Ben ne semble pas s’intéresser à son patient, et pourtant, il est de plus en plus fasciné par ce cas. Pourra-t-il aider Paul Vitti? Comment peut-on guérir un homme qui préfère solutionner ses problèmes avec un revolver et un sac de ciment?, Un psychiatre se rend au chevet d’un redoutable mafioso… Ben Sobel, psychiatre de profession, ne trouve plus d’attrait dans son travail. Les petites misères de sa clientèle sans envergure ne l’intéressent plus… Un jour, lors d’un accrochage de voitures, Ben tombe sur le garde du corps de Paul Vitti, le plus célèbre des parrains de la côte est, auquel il laisse sa carte… Et bien vite, le mafioso fait appel aux services de Ben. En effet, à quelques semaines d’une rencontre primordiale des responsables mafieux du pays, Paul Vitti somatise : il est victime d’étouffements et de nausées ! Bien que Ben refuse de s’occuper de Vitti, ce dernier parvient tout de même à le faire plier grâce à sa redoutable force de persuasion… Alors que Ben se rend à Miami pour son mariage avec la ravissante Laura, Vitti le poursuit et l’appelle à tout moment, en pleine nuit et même le jour des noces !… La situation se corse dangereusement pour Ben lorsqu’il croise des cadavres sur son chemin et que le FBI le contacte pour qu’il balance Vitti…, Ben Sobel, psychanalyste, s’étiole à force d’écouter les petites misères de patients sans envergure. A la suite d’un accrochage en voiture, il laisse sa carte à Jelly, le garde du corps de Paul Vitti, le plus célèbre des parrains de la côte Est. A quelques semaines d’une rencontre essentielle entre les responsables de l’organisation, Vitti est victime de nausées, d’étouffement, de crises d’angoisse et de cauchemars. Le truand vieillissant décide de faire appel à un psy, pour le remettre d’aplomb. Il contacte Sobel qui refuse. Mais la force de conviction de Vitti ne souffre pas de discussion. Dès lors, il poursuit son psy, le faisant appeler à tout moment, jour et nuit, tandis que le FBI approche Sobel pour qu’il balance Vitti. Même si les subtilités de l’art freudien échappent au parrain – il a vu son père se faire tuer sous ses yeux – il comprend, en s’effondrant en larmes, qu’il doit renoncer à ses activités pour se consacrer à son fils et à sa femme. Au meeting de l’Organisation, Vitti, soutenu par Ben, annonce qu’il se retire…, Ben Sobel, psychiatre, se fane en écoutant les petites misères de sa clientèle sans envergure. A l’occasion d’un accrochage de voitures, Ben laisse sa carte à Jelly, le garde du corps de Paul Vitti, le plus célèbre des parrains de la côte Est. Vitti, à quelques semaines d’une rencontre primordiale des responsables mafieux du pays, est victime d’étouffements et de nausées. Il doit se rendre à l’évidence : il somatise. Il demande à Ben de le remettre d’aplomb en quelques jours! Ben refuse, mais la force de conviction de Paul Vitti est indiscutable! Mais Ben doit partir pour Miami épouser Laura. Vitti le poursuit le faisant appeler à tout moment. Les cadavres jouxtent le chemin de Ben et le FBI l’approche pour qu’il “balance” le parrain. Mais l’analyse avance : Vitti a vu son père (devenu caïd à la suite d’un sommet de parrains similaire à celui qui approche) se faire assassiner sous ses yeux. Un souvenir difficile à effacer…, Si le psychiatre new-yorkais Sobel ne croit plus guère à l’efficacité de son savoir sur des patients atteints de névroses d’une banalité consternante, il va changer d’avis quand Paul Vitti, connu comme l’un des gangsters les plus puissants de New York, franchit autoritairement la porte de son cabinet. Le redoutable malfrat souffre d’étranges symptômes : bouffées d’angoisse, blocage, accès de culpabilité, crises de larmes incontrôlées. Il ordonne à un Sobel terrifié de le guérir rapidement car l’élection du nouveau parrain de la côte Est approche., Paul Vitti est un des plus grands gangsters new-yorkais. Il a grandi et a été préparé à ses futures responsabilités par Manetta qui fut abattu lui-même quelques années plus tôt. Mais quand Paul Vitti doit assumer son rôle en tant que meneur de sa famille de meurtriers, il commence à avoir des troubles respiratoires. Il ne peut dormir, il est distant et préoccupé pour sa femme et ses enfants ; sa maîtresse se demande pourquoi il ne s’intéresse plus à leur relation ; ses proches s’inquiètent de ses soudaines crises d’angoisse. C’est alors qu’il rencontre Ben Sobel, thérapeute réputé. Ben suit des dizaines de patients aux histoires parfois bien ennuyantes et ridicules. Paul Vitti lui demande de guérir ses excès de panique. Tout de suite et complètement. Au départ, Ben ne semble pas s’intéresser à son patient, et pourtant, il est de plus en plus fasciné par ce cas. Pourra-t-il aider Paul Vitti ? Comment peut-on guérir un homme qui préfère solutionner ses problèmes avec un revolver et un sac de ciment ?, Ben Sobel, un petit psychiatre new-yorkais, reçoit un jour dans son cabinet un malade hors normes : Paul Vitti, un caïd de la mafia souffrant d’angoisses incontrôlables à quelques jours de l’élection du nouveau parrain de la Côte Est., Ben Sobel, la petite cinquantaine, psychiatre new-yorkais plan-plan et de réputation modeste, mène une vie tranquille et sans surprise. Ses patients ne l’étonnent plus guère que par la consternante banalité de leurs névroses, qui suscitent de sa part les mêmes démarches thérapeutiques, stéréotypées… et parfaitement inopérantes. Un accident mineur – il emboutit une grosse limousine noire – va amener un jour dans le cabinet de Ben Sobel un malade hors normes : Paul Vitti, une cinquantaine d’années, l’un des gangsters les plus puissants de New York. En effet, ce dernier souffre d’une grosse dépression et veut guérir !, Quand on est un parrain de la Mafia américaine, avoir le blues peut être fatal. Paul Vitti en est bien conscient et, à l’approche d’une réunion cruciale avec ses homologues, il décide d’en finir avec sa déprime. Il s’attache donc les services du docteur Sobel, un psy new-yorkais. Lorsque ce dernier tente de freiner le harcèlement dont son patient l’accable, le gangster, en voie de guérison, use des méthodes d’intimidation classiques dans le milieu…, Un psychanalyste doit traiter un chef de la mafia en proie à des crises d’angoisse.