Week-end à Zuydcoote

Les premiers jours de juin 1940, dans une poche de la mer du Nord où une partie de l’armée française tente de gagner l’Angleterre. Le week-end est tragique pour la France, il est tragique aussi pour le soldat Julien Maillat, qui se trouve, comme tant d’autres, coincé dans l’étau. Maillat est un aimable Français moyen, jeune et dégourdi. La guerre le dégoûte mais il sait se battre et puis il y a tout un petit groupe autour de lui : Alexandre, un sympathique râleur, Pierson, un aumônier philosophe, et Pinot, un “gars de Bezons” équipé d’un fusil-mitrailleur. Chacun se sent solidaire de ceux qui l’assistent, sauf peut-être Dhéry, un combinard qui rêve déjà de marché noir., Juin 1940. Sur les plages de Dunkerque pilonnées par les bombardements allemands, des milliers de soldats français et anglais attendent le départ pour l’Angleterre. Parmi eux, il y a le sergent-chef Julien Maillat, las et dégoûté de la guerre qu’il a menée avec ses camarades. Il fait la rencontre de Jeanne, une jeune femme qui refuse de quitter sa maison en ruine. Julien persuade Jeanne de fuir avec lui et dit adieu à ses amis. Une improbable idylle se noue bientôt entre eux…, Un week-end tragique en France, en Juin 1940… Juin 1940 à une quinzaine de kilomètres de Dunkerque… Alors que la guerre fait rage, des soldats Français tentent de gagner l’Angleterre afin d’échapper aux Allemands. Parmi eux, le soldat Julien Maillot, le plus dégourdi de tous, mais aussi le plus dégoûté par les bombardements incessants, les blessés et les cadavres qui jonchent le sol ! Et c’est au centre de cette horreur que Julien rencontre Jeanne : celle-ci allait se faire violer par deux soldats que Julien n’hésite pas à abattre. Les deux jeunes gens décident de fuir ensemble…, Dunkerque, juin 1940. En pleine débâcle, les troupes françaises et anglaises sont acculées sur les plages de la Manche, pilonnées par les bombardiers allemands. Tandis que les soldats tentent d’embarquer pour l’Angleterre, l’un d’entre eux, Julien Maillard, las et dégoûté par cette guerre, rencontre Jeanne, une jeune femme qui refuse d’abandonner sa maison en ruines. Entre eux, des sentiments naissent…, Juin 1940, c’est la débâcle, les troupes françaises sont acculées et se retrouvent sur les plages de la Manche, cherchant à fuir vers l’Angleterre. Le soldat Maillat fait partie de ces soldats qui se retrouvent dans l’étau et cherchent à s’en sortir. Une solidarité se créent entre eux en attendant leur destin…, Dunkerque, juin 1940. L’armée allemande pilonne les soldats français et britanniques. Le sergent Maillat, échouant son embarquement pour l’Angleterre, rencontre une jeune femme qui refuse de quitter sa maison en ruines. Fresque guerrière désenchantée, “Week-end à Zuydcoote” évoque aussi la trajectoire dramatique d’un homme, magistralement interprété par un Belmondo remarquable., A Dunkerque, en juin 1940, ses camarades ayant raté l’embarquement pour l’Angleterre au plus fort de la Débâcle, le sergent Julien Maillat, dégoûté et las, rencontre Jeanne, une jeune femme qui refuse de quitter sa maison en ruines. Julien persuade Jeanne de fuir avec lui et dit adieu à ses amis. Une improbable idylle se noue bientôt entre eux., Juin 1940. Sur les plages de Dunkerque et sous le feu nourri des bombardiers allemands, Julien Maillat ainsi que des milliers d’autres soldats, français et anglais, attendent d’embarquer à destination de l’Angleterre. C’est alors qu’il rencontre Jeanne, qui ne peut se résoudre à quitter sa maison. Adaptant le roman de Robert Merle, Henri Verneuil plonge le spectateur au coeur des premiers jours tragiques de ce mois de juin 1940 et signe ici un film magnifique. Dialogues affûtés, mise en scène efficace, interprétation magistrale, superbe bande-son et un Jean-Paul Belmondo à la trentaine toute fraîche sont au rendez-vous de ce “Week-end à Zuydcoote”., Samedi 1er juin 1940 au matin. Maillat, Pierson, Alexandre et Dhéry ont perdu leur régiment dans la débâcle et se retrouvent au milieu de soldats français et britanniques dans la “poche de Dunkerque”, une zone encerclée et pilonnée par l’armée nazie. Sur la plage de Zuydcoote, ils ont installé une petite “popote” dans une vieille camionnette. Entre deux tirs d’obus allemands, le tendre Alexandre fait maternellement la tambouille ; l’abbé Pierson philosophe et Dhéry fait ses petits calculs en vue du marché noir. Quant à Maillat, il projette de s’embarquer pour l’Angleterre. Mais les places sont chères et les Britanniques ont la priorité…