Le Mur 1956-1962
1956. Khrouchtchev ferme la porte aux années staliniennes. Décidé à ouvrir l’URSS au monde extérieur, ce “Monsieur K” au visage rond et sympathique étonne le monde entier lorsqu’il se rend aux États-Unis. Mais celui qui a écrasé dans le sang l’insurrection de Budapest n’a rien perdu de sa dureté., Cette histoire est celle de la guerre froide. 1956. Khrouchtchev tourne le dos aux années staliniennes. Décidé à ouvrir l’URSS au monde extérieur, il se rend tout sourire aux États-Unis. Il réserve cependant au président John Kennedy une coexistence qui n’a rien de pacifique : construction du Mur de Berlin et crise des missiles à Cuba. En retour, Kennedy prononce à Berlin, le discours de tous les espoirs : “Ich bin ein Berliner!”, 1956. Khrouchtchev ferme la porte aux années staliniennes. Décidé à ouvrir l’URSS au monde extérieur, ce “Monsieur K” au visage rond et sympathique étonne le monde entier lorsqu’il se rend aux États-Unis. Mais celui qui a écrasé dans le sang l’insurrection de Budapest n’a rien perdu de sa dureté. Et il réserve au président John Kennedy une coexistence qui n’a rien de pacifique : construction du mur de Berlin, crise des missiles à Cuba, sans oublier l’aide qu’il apporte à Hô Chi Minh au Vietnam… En retour, Kennedy prononce à Berlin, le 26 juin 1963, le discours de tous les espoirs, s’exclamant devant une foule émue : “Ich bin ein Berliner !”