Au bonheur des dames

La lutte inégale entre Mouret, heureux directeur du grand magasin “Au Bonheur des dames”, et Baudu, minable propriétaire d’une échoppe, “Petit Elbeuf”., Sous le second Empire, Baudu tient un commerce de draps. Les affaires vont bon train jusqu’au jour où un grand magasin, Au Bonheur des Dames, vient s’établir dans le quartier. Baudu tente de faire face à son nouveau concurrent et malgré tous ses efforts sa nièce, Denise est embauchée comme vendeuse., Mouret, un ancien vendeur doué du génie des affaires, devient l’heureux directeur du premier grand magasin, Au Bonheur des Dames, et ruine Baudu, propriétaire d’une échoppe voisine., Mouret, un ancien vendeur doué d’un génie des affaires, devient l’heureux directeur du premier grand magasin, Au bonheur des dames, et ruine Baudu, malheureux propriétaire d’une petite boutique voisine., Sous le Second Empire, Octave Mouret développe considérablement les activités du grand magasin dont il est propriétaire : le “Bonheur des dames”. Sa prospérité entraîne la ruine des boutiquiers du quartier. Parmi eux, Baudu, le drapier, tente en vain d’organiser la résistance. Sa propre nièce, Denise, devient vendeuse au Bonheur des dames., Paris, sous le Second Empire. Propriétaire du grand magasin Le Bonheur des Dames, Octave Mouret entraîne la ruine du modeste boutiquier Baudu. Celui-ci tente d’organiser une résistances des commerçants du quartier, lutte inégale, vouée à l’échec. Sa propre nièce, Denise, deviendra vendeuse au Bonheur des Dames et épousera même Mouret, malgré les intrigues de Madame Desforges, maîtresse et financier du maître du chiffon parisien…