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Cuba
Les trains cubains ne sont certes pas tout jeunes, mais les lignes des (Ferrocarriles) traversent l’île d’est en ouest. C’est grâce à ce réseau ferré unique, le tout premier de l’Amérique latine, que Philippe Gougler part à la rencontre de ce pays à l’histoire aussi riche que complexe et de ses habitants qui ont fait du (système D) un art de vivre., Les trains cubains ne sont certes pas tout jeunes, mais les «Ferrocarriles» traversent l’île d’est en ouest. Ce réseau ferré unique a été le tout premier de l’Amérique latine, C’est à bord des ” Ferrocarriles ”, les trains cubains, que Philippe Gougler traverse l’île d’est en ouest à la rencontre de ce pays à l’histoire fascinante., Les trains Cubains ne sont certes pas tout jeunes mais les lignes des ‘Ferrocarriles’ Cubains traversent l’île d’est en ouest. C’est grâce à ce réseau ferré unique, le tout premier de l’Amérique latine, que Philippe Gougler part à la rencontre de ce pays à l’histoire aussi riche que complexe et de ses habitants qui ont fait du ‘système D’ un art de vivre. A la pointe extrême ouest de l’île, Philippe emprunte un petit train local, avant de s’aventurer dans les grandes exploitations de canne à sucre. A La Havane, il fait l’expérience de la capacité d’adaptation et de l’ingéniosité des Cubains. Il prend ensuite la direction de Trinidad pour voir si le train à vapeur de la vallée des plantations roule encore et si les cérémonies des prêtres de la Santéria sont aussi mystérieuses qu’on le raconte. Philippe poursuit sa traversée jusqu’à Santiago, une ville qui vit sous l’influence des caraïbes et de la musique qui fait vibrer jeunes et moins jeunes., Les trains cubains ne sont certes pas tout jeunes mais les lignes des «Ferrocarriles» traversent l’île d’est en ouest. C’est grâce à ce réseau ferré unique, le tout premier de l’Amérique latine, que Philippe Gougler part à la rencontre de ce pays à l’histoire aussi riche que complexe et de ses habitants qui ont fait du «système D» un art de vivre. À la pointe extrême ouest de l’île, ilemprunte un petit train local, avant de s’aventurer dans les grandes exploitations de canne à sucre. Et à La Havane, il fait l’expérience de la capacité d’adaptation et de l’ingéniosité des Cubains., Les trains cubains ne sont certes pas récents mais les lignes des “Ferrocarriles” cubains permettent de traverser l’île d’est en ouest. C’est grâce à ce réseau ferré unique, le tout premier de l’Amérique latine, que Philippe part à la rencontre de ce pays à l’histoire aussi riche que complexe et de ses habitants qui ont fait du “système D” un art de vivre.