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Bolivie
Les trains boliviens sont ceux de l’extrême, représentatifs du pays. Départ de La Paz, à près de 4 000 mètres d’altitude, en compagnie de Philippe qui nous fait découvrir une gare particulière et des habitants qui se sont acclimatés physiquement à des conditions de vie très difficiles. Après cette première confrontation avec la réalité bolivienne, Philippe emprunte un train qui file vers le merveilleux désert de sel, le Salar d’Uyuni, à la rencontre de ces travailleurs solitaires assis sur l’une des plus grandes réserves mondiales de lithium. Il monte ensuite dans le train qui le conduit à Potosi, où il va vivre avec les mineurs la descente au centre de la Terre dans cette mythique montagne d’extraction d’argent. Ces trains étonnants auront permis à Philippe de découvrir en profondeur l’âme des Boliviens., Les trains Boliviens sont des trains de l’extrême, tout comme le pays lui-même. Les emprunter, c’est aller au coeur de ce qui fait la spécificité de la Bolivie. Départ de la Paz, à près de 4 000 mètres d’altitude, en compagnie de Philippe qui nous fait découvrir une gare particulière et des habitants qui se sont acclimatés physiquement à des conditions de vie très difficiles., Les trains Boliviens sont des trains de l’extrême, tout comme le pays lui-même. Les emprunter, c’est toucher au coeur de ce qui fait la spécificité de la Bolivie. Départ de La Paz, à près de 4 000 mètres d’altitude, pour Philippe qui nous fait découvrir une gare particulière et des habitants qui se sont acclimatés physiquement à des conditions de vie très difficile. Après cette première confrontation avec la réalité Bolivienne, Philippe saute dans un train qui file vers le merveilleux désert de sel, le Salar d’Uyuni, à la rencontre de ces travailleurs solitaires assis sur l’une des plus grandes réserves de lithium du monde. Ces images féériques plein les yeux, Philippe monte dans le train qui le conduit à Potosí, où il va vivre avec les mineurs la descente au centre de la Terre dans cette mythique montagne d’extraction d’argent. Le courage et la fierté de ces hommes donnent une leçon de vie mémorable. Philippe ne repartira pas indemne, à bord d’un petit ” bus-train ” étonnant, vers la communauté très spéciale des mennonites, vivant comme au XIXe siècle dans une région proche de l’Amazonie. Ces étranges trains auront sans conteste permis à Philippe de découvrir en profondeur l’âme des Boliviens., Parti de La Paz, à 4 000 mètres d’altitude, le globe-trotter découvre, dans un premier temps, un impressionnant désert de sel, le Salar d’Uyuni. Puis, il reprend le train, direction Potosi, célèbre pour ses mines d’argent. Il monte ensuite à bord d’un “bus-train” qui l’emporte vers une communauté de mennonites vivant comme au XIXe siècle dans une région proche de l’Amazonie., Depuis La Paz, Philippe Gougler embarque pour un voyage à travers la Bolivie, à la rencontre des mineurs de Potosi et de la communauté des mennonites, près de l’Amazonie., Emprunter les trains en Bolivie, c’est toucher au coeur de ce qui fait la spécificité du pays. Philippe Gougler part de La Paz, à près de 4 000 mètres d’altitude, où il découvre une gare particulière et des habitants qui se sont acclimatés physiquement à des conditions de vie très difficiles. Après cette première confrontation avec la réalité bolivienne, Philippe saute dans un train qui file vers le merveilleux désert de sel, le salar d’Uyuni, à la rencontre de ces travailleurs solitaires assis sur l’une des plus grandes réserves de lithium du monde. Ces images féeriques plein les yeux, Philippe monte dans le train qui le conduit à Potosí, où il va vivre avec les mineurs la descente au centre de la Terre.
