Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon

Le “docteur” est le chef du bureau des homicides. Il entretient une relation houleuse et agitée avec une femme mariée. Cette dernière se soumet à ses jeux pervers, et devient entre ses bras une victime soumise et provocante. Un jour, le “Docteur” découvre que sa maîtresse a un autre amant. Lors d’un dernier ébat amoureux, il lui tranche la gorge. De suite, il se retrouve chargé de l’enquête de son propre crime Elio. Petri réalise un brillant pamphlet contre la police, où il dénonce l’impunité d’un haut fonctionnaire., Le chef du service des homicides, promu commissaire de la police politique, égorge sa maîtresse, Augusta, en faisant l’amour. Puis, il sème contre lui des preuves à charge et finit par s’accuser., Le “docteur” est le chef du bureau des homicides. Il entretient une relation houleuse avec une femme mariée. Cette dernière se soumet à ses jeux pervers et devient entre ses bras une victime soumise et provocante. Un jour, le “Docteur” découvre que sa maîtresse a un autre amant. Lors d’un dernier ébat amoureux, il lui tranche la gorge. Il se retrouve chargé de l’enquête sur son propre crime. Elio Petri réalise un brillant pamphlet contre la police et dénonce l’impunité dont jouissent certains hauts fonctionnaires., Chef de la brigade criminelle et sur le point d’être promu au poste de directeur de la section politique, le commissaire se rend compte que sa maîtresse, Augusta Terzi, avec laquelle il entretient des rapports sado-masochistes, le trompe avec un jeune étudiant anarchiste. Il lui fait une scène de jalousie qui dégénère, et il lui tranche la gorge en laissant de grossiers indices pouvant l’accuser. C’est lui qui va conduire l’enquête. Sa mégalomanie perverse trouvera de quoi s’alimenter dans la recherche sur le crime qu’on refusera de lui attribuer., Ancien policier de la criminelle, le docteur vient d’être nommé commissaire de la police politique. Sa maîtresse Augusta semble lui préférer un jeune agitateur. Insupportable pour le commissaire qui assassine la jeune femme. Ce tenant de l’ordre finit par s’accuser du meurtre. Elio Petri dirige un Gian Maria Volonte brillant dans un film aussi rigoureux qu’inventif. Réflexion sur le pouvoir, ce drame atypique prend la forme d’une satire de la police., Dans une Italie répressive, un homme de pouvoir commet un crime et sème volontairement des indices qui l’accablent… Sur une ritournelle dissonante d’Ennio Morricone, Elio Petri, cinéaste contestataire des années 1970, se livre à une attaque en règle contre l’État policier. Gian Maria Volontè incarne un antihéros arrogant et pervers, ivre de sa toute-puissance., Chef de la brigade criminelle et sur le point d’être promu au poste de directeur de la section politique, le commissaire se rend compte que sa maîtresse, Augusta Terzi, avec laquelle il entretient des rapports sado-masochistes, le trompe avec un jeune étudiant anarchiste. Il lui fait une scène de jalousie qui dégénère, et lui tranche la gorge en laissant de grossiers indices pouvant l’accuser. C’est lui qui va conduire l’enquête. Sa mégalomanie perverse trouvera de quoi s’alimenter dans la recherche sur le crime qu’on refusera de lui attribuer., Un inspecteur de police (Gian Maria Volontè) tue sa maîtresse et laisse des indices pour tester sa réputation de citoyen au-dessus de tout soupçon. Florinda Bolkan, Gianni Santuccio, Orazio Orlando, Sergio Tramonti.