Faites entrer l’accusé S:9 E:10 | Roland Bondonny et le mystère des boulettes bleues

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S:9 E:10

Roland Bondonny et le mystère des boulettes bleues

Enquête sur une vague d’empoisonnements de chiens en Corrèze. Le coupable a laissé des boulettes de viandes couvertes du Carbofuran, un produit chimique toxique bleu, le long des routes et dans les villages, ainsi tuant 144 chiens de chasse dans cette région giboyeuse., Le 25 août 2004, Marius Lac, un gendarme à la retraite, est retrouvé sauvagement assassiné dans son garage à La Chapelle Spinasse, en Corrèze. Le lien est rapidement fait avec une affaire dans laquelle Marius avait témoigné trois ans auparavant. Une affaire d’empoisonnement de chiens qui a fait grand bruit dans la région : de mystérieuses boulettes de viandes truffées d’un produit chimique toxique bleu, le Carbofuran, étaient semées le long des routes et jusque dans les villages, faisant des centaines de victimes parmi les chiens de chasse du coin. Le 14 février 2001, le notable Roland Bondonny avait été arrêté et condamné à deux ans de prison dont un avec sursis et avait fait appel. Peu avant la date de ce second procès, Marius Lac est donc assassiné. L’enquête mène la police jusqu’à un certain Alain Bodchon qui habite à Fourmies, dans le Nord, et connaît Roland Bondonny. Le 19 octobre 2004, les deux hommes sont arrêtés. Alain Bodchon avoue avoir tué Marius Lac à la demande de Bondonny, qui nie. Mis en examen et incarcéré pour complicité d’assassinat, le notable se suicide dans sa cellule le 3 février 2005. Le procès d’Alain Bodchon s’ouvre en mai 2007 à Tulle. Les jurés retiennent la préméditation et le condamnent à 22 ans de réclusion pour l’assassinat de Marius Lac., Le 25 août 2004, Marius Lac, un gendarme à la retraite, est retrouvé sauvagement assassiné dans son garage à La Chapelle Spinasse, en Corrèze. Le lien est rapidement fait avec une affaire dans laquelle Marius avait témoigné peu auparavant. Une affaire d’empoisonnement de chiens qui a fait grand bruit dans la région : de mystérieuses boulettes de viandes truffées d’un produit chimique toxique bleu, le Carbofuran, étaient semées le long des routes et jusque dans les villages, faisant des centaines de victimes. Parmi les victimes, 144 chiens de chasse. Un traumatisme sans précédent pour cette région giboyeuse, comme le racontent Eric Fournial, Christian Grandeau et Suzanne Ségurel. Pour Faites entrer l’accusé, le juge d’instruction Jean-Michel Pignoux évoquera l’enquête qu’il a dirigée sur ces vagues d’empoisonnements. Il racontera l’arrestation, le 14 février 2001, de Roland Bondonny ; le notable, fort en gueule, que la rumeur a toujours désigné comme l’empoisonneur de Corrèze et que, cette fois, les faits accusent. Malgré ses dénégations, des traces de Carbofuran ont été retrouvées dans sa voiture. Au procès, en octobre 2003, 80 parties civiles font face à Bondonny. Mais deux hommes seulement acceptent de briser la loi du silence et de défier le notable. Un chasseur, Eric Fournial, et un ancien gendarme, Marius Lac. A la barre, ils parlent de ses rapports conflictuels avec les autres chasseurs, de sa chasse privée curieusement épargnée par les boulettes. Pour Me Labrousse, l’avocat de Bondonny, il s’agit d’un complot orchestré contre son client. Mais Roland Bondonny est condamné à deux ans de prison dont un avec sursis et à plus de 110 000 euros de dédommagements. Bondonny fait appel. Quand, peu avant la date de ce second procès, Marius Lac est assassiné. Comme l’explique le juge d’instruction Eric Baron, Bondonny a un alibi. Mais les gendarmes, menés par l’adjudant chef Gérard Blazy, vont découvrir que l’auteur du crime a laissé de nombreux indices : un itinéraire, une mystérieuse Alpha Roméo rouge… Et la piste les conduit bien loin de la Corrèze : à Fourmies, dans le Nord ! C’est là qu’ils découvrent qu’un certain Alain Bodchon connaît Roland Bondonny et qu’il pourrait être son homme de main., Le 25 août 2004, Marius Lac, un gendarme à la retraite, est retrouvé sauvagement assassiné dans son garage à Chapelle-Spinasse, en Corrèze. Le lien est rapidement fait avec une affaire dans laquelle Marius avait témoigné trois ans auparavant. Une affaire d’empoisonnement de chiens qui avait fait grand bruit dans la région : de mystérieuses boulettes de viande truffées d’un produit chimique toxique bleu, le Carbofuran, étaient semées le long des routes et jusque dans les villages, faisant des centaines de victimes parmi les chiens de chasse du coin. Le 14 février 2001, le notable Roland Bondonny avait été arrêté et condamné à deux ans de prison dont un avec sursis et avait fait appel. Peu avant la date de ce second procès, Marius Lac est donc assassiné. L’enquête mène la police jusqu’à un certain Alain Bodchon qui habite à Fourmies, dans le Nord, et connaît Roland Bondonny. Le 19 octobre 2004, les deux hommes sont arrêtés. Alain Bodchon avoue avoir tué Marius Lac à la demande de Bondonny, qui nie. Mis en examen et incarcéré pour complicité d’assassinat, le notable se suicide dans sa cellule le 3 février 2005. Le procès d’Alain Bodchon s’ouvre en mai 2007 à Tulle. Les jurés retiennent la préméditation et le condamnent à vingt-deux ans de réclusion pour l’assassinat de Marius Lac., Le 25 août 2004, Marius Lac, un gendarme, est retrouvé assassiné à coups de hache dans son garage de La Chapelle-Spinasse, en Corrèze. Le lien est vite fait avec une affaire dans laquelle le retraité avait témoigné peu auparavant. De mystérieuses boulettes de viande truffées d’un produit chimique toxique bleu, le carbofuran, étaient semées le long des routes et jusque dans les villages, faisant des centaines de victimes parmi les bêtes sauvages et domestiques. Dans cette affaire, la justice a condamné un homme à vingt-deux ans de prison. Mais l’accusé vers lequel se tournaient tous les regards de la région n’était finalement pas dans le box.

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