Procureur de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison enquête sur l’assassinat du président John F. Kennedy. Il remet bientôt en cause le rapport Warren et penche pour la thèse du complot., En 1966, trois ans après l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy à Dallas, le procureur de La Nouvelle-Orléans Jim Garrison se plonge dans la lecture du rapport de la Commission Warren, chargée d’élucider le crime et ayant établi la culpabilité du seul Lee Harvey Oswald. Les invraisemblances et les “trous” du rapport Warren étonnent Garrison, qui décide d’enquêter lui-même sur l’assassinat. Les pistes qu’il découvre avec l’aide d’une petite équipe gagnée à sa cause le mènent à la conclusion que Oswald n’était qu’une “couverture” masquant en fait un véritable complot minutieusement organisé par la CIA, le FBI et le Pentagone afin d’éliminer Kennedy., Lorsque le 22 novembre 1963 le président John Fitzgerald Kennedy (“J.F.K.”) est assassiné à Dallas, Jim Garrison, honnête procureur de La Nouvelle-Orléans est très affecté. Apprenant que, peu avant le drame, le meurtrier présumé, Lee Harvey Oswald, avait fait un séjour dans sa ville, il décide d’enquêter. La commission Warren rejette la thèse du complot que Garrison défend., 22 novembre 1963, le plus jeune président des Etats-Unis est assassiné à Dallas. A la suite d’une enquête expéditive, la Commission Warren retient la thèse de l’assassin isolé : Lee Harvey Oswald. Mais cette conclusion ne satisfait pas Jim Garrison, le procureur de la Nouvelle Orléans. Epris de vérité, il mène sa propre enquête. Il en ressort bientôt que Oswald n’est qu’un pion dans un assassinat qui relève de la conspiration. Garrison met à jour la collusion de différents intérêts., En 1966, trois ans après l’assassinat de Kennedy à Dallas, Jim Garrison, procureur de la Louisiane, se plonge dans la lecture du rapport Warren. Les conclusions de ce rapport lui semble invraisemblables et il décide d’entreprendre une nouvelle enquête., 22 novembre 1963, le plus jeune président des Etats-Unis est assassiné à Dallas. A la suite d’une enquête expéditive, la Commission Warren retient la thèse de l’assassin isolé : Lee Harvey Oswald. Mais cette conclusion ne satisfait pas Jim Garrison, le procureur de la Nouvelle Orléans. Epris de vérité, il mène sa propre enquête. Il en ressort bientôt que Oswald n’est qu’un pion dans un assassinat qui relève de la conspiration., Suite à l’assassinat à Dallas le 22 novembre 1963, du président John F. Kennedy, le procureur de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison, remet en cause les conclusions du rapport de la Commission Warren et oriente plutôt son enquête vers la thèse d’un complot., En 1966, un procureur de La Nouvelle-Orléans ouvre une enquête sur l’assassinat du président John F. Kennedy., En 1966, trois ans après l’assassinat de Kennedy à Dallas, Jim Garrison, District Attorney de New-Orleans (Louisiane), se plonge dans la lecture du rapport de la commission Warren (chargée d’élucider le crime et ayant établi la culpabilité de Lee Harvey Oswald). Les invraisemblances et les trous du rapport Warren étonnent Garrison qui décide d’enquêter lui-même sur l’assassinat. Les pistes qu’il découvre avec l’aide d’une équipe gagnée à sa cause le mènent à la conclusion qu’Oswald n’était qu’une couverture masquant en fait un véritable complot minutieusement organisé par la CIA, le FBI et le Pentagone afin d’éliminer Kennedy, dont la politique à l’égard du ViêtNam et de Castro était jugée trop laxiste. La décomposition de l’assassinat et les différents témoignages prouvent qu’il y aurait eu plusieurs tueurs postés à des endroits-clés du parcours. Remontant les filières, Garrison et son équipe aboutissent à un groupe de partisans anti-castristes, homosexuels et fascistes. A leur tête : Clay Shaw, un homme d’affaires de New-Orleans., 22 novembre 1963, le plus jeune président des Etats-Unis est assassiné à Dallas . A la suite d’une enquête expéditive, la Commission Warren retient la thèse de l’assassin isolé : Lee Harvey Oswald. Mais cette conclusion ne satisfait pas Jim Garrison, le procureur de la Nouvelle Orléans. Epris de vérité, il mène sa propre enquête. Il en ressort bientôt que Oswald n’est qu’un pion dans un assassinat qui relève de la conspiration. Garrison met à jour la collusion de différents intérêts., 22 novembre 1963, le plus jeune président des Etats-Unis est assassiné à Dallas. A la suite d’une enquête expéditive, la Commission Warren retient la thèse de l’assassin isolé : Lee Harvey Oswald. Mais cette conclusion ne satisfait pas Jim Garrison, le procureur de la Nouvelle Orléans. Epris de vérité, il mène sa propre enquête., Le Président des Etats-Unis, John F. Kennedy, est assassiné à Dallas le 22 novembre 1963. Le rapport de la Commission Warren retient l’acte d’un homme seul, Lee Harvey Oswald, lui-même tué par Jack Ruby. Mais le procureur Jim Garrison ne croit pas à cette thèse officielle, car sa propre enquête lui laisse penser qu’un puissant complexe militaro-industriel serait en réalité le vrai commanditaire de l’attentat. C’est alors que les obstacles vont se dresser sur la route de Garrison à mesure qu’il s’approche de la vérité. Chef-d’oeuvre d’un réalisateur qui aime interroger la mauvaise conscience de l’Amérique, ce JFK est parfait en tous points. Au-delà de l’intelligence de son propos (même si celui-ci, qui reprend la thèse du complot, est aussi contesté que la version officielle), la qualité de l’interprétation et la maîtrise de la réalisation font de ce film une reconstitution audacieuse et captivante., La vérité sur l’assassinat du Président éclatera-t-elle un jour ?… 1966 : Jim Garrison étudie le rapport de la Commission Warren, qui a établi la culpabilité de Lee Harvey Oswald dans l’affaire de l’assassinat du Président Kennedy à Dallas. Etonné par le peu d’éléments contenus dans un tel dossier, Garrison décide d’enquêter lui-même. Avec une petite équipe, il se lance sur plusieurs pistes et en déduit qu’ Oswald a servi uniquement de ‘couverture’, visant à masquer un complot largement mené par la CIA, le FBI et le Pentagone, pour éliminer le Président. En effet, ce dernier se montrait, selon eux, beaucoup trop tolérant en faveur du Vietnam et de Fidel Castro… L’étude de l’assassinat et les témoignages qui y font référence démontrent qu’il y avait non pas un, mais plusieurs tueurs, postés à différents endroits du parcours du Président. En remontant plusieurs filières, Garrison et son équipe parviennent jusqu’à un groupe de partisans anti-castristes, homosexuels et fascistes, dirigés par Clay Shaw, puissant homme d’affaires de la Nouvelle-Orléans…, Le 22 novembre 1963, le plus jeune président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, est assassiné en plein coeur de Dallas. A la suite d’une enquête expéditive, la Commission Warren retient la thèse du meurtrier isolé : Lee Harvey Oswald. Mais cette conclusion ne satisfait pas Jim Garrison, le procureur de La Nouvelle-Orléans. Épris de vérité, il mène sa propre enquête. Il en ressort bientôt qu’Oswald n’est qu’un pion dans un assassinat qui relève de la conspiration. Garrison met au jour la collusion de différents intérêts., Lorsque le 22 novembre 1963 le Président John Fitzgerald Kennedy (“J.F.K.”) est assassiné à Dallas, Jim Garrison, honnête procureur de La Nouvelle-Orléans est très affecté. Apprenant que, peu avant le drame, le meurtrier présumé, Lee Harvey Oswald, avait fait un séjour dans sa ville, il décide d’enquêter. Mais son interrogatoire de David Ferrie, soupçonné d’avoir transporté des hommes armés à Dallas le jour du meurtre, n’aboutit à rien. Trois ans plus tard, Oswald et son assassin Jack Ruby sont morts; la commission Warren a rejeté la thèse du complot. Mais Garrison s’interroge toujours. Lorsque le sénateur Long attire son attention sur les irrégularités de l’enquête, il décide de reprendre ses investigations avec l’aide de ses collaborateurs, Bill Broussard, Lou Ivon et Susie Cox. Jack Martin le met sur la trace de Clay “Bertrand” (de son vrai nom Clay Shaw), un homme d’affaires de la Nouvelle-Orléans qui préparait avec des anti-castristes une invasion de Cuba.
JFK
Year Released:
1991Lang:
FrenchStreaming Date :
1991-12-20Mins :
188Directed By :
Oliver StoneReviews (0)
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