Education surveillée
Dans une institution pour jeunes filles, Carla, une des pensionnaires, a été étranglée puis défenestrée. Dans cet univers uniquement féminin, la Crim’ s’intéresse de très près au professeur de français, Pierre Masson, bel homme au fort charisme., Dans une institution pour jeunes filles, Carla, une des pensionnaires, a été étranglée puis défenestrée. Dans cet univers uniquement féminin, la Crim’ s’intéresse de très près au professeur de français, Pierre Masson, bel homme au fort charisme. En interrogeant l’épouse de Masson (et surveillante générale de la pension), les lieutenants apprennent que Pierre et Carla étaient amants. Le crime est certes lié à la jalousie, mais la coupable n’est pas celle que l’on croit. Marie, camarade de classe de Carla, couchait sur son journal intime ses pensées les plus secrètes pour le professeur. Carla avait subtilisé ce journal pour reprendre à son compte les belles phrases de Marie dans des lettres pour Masson, évidemment sensible à la prose. Marie n’a pas supporté ; c’est ici qu’entre en scène Inès., Dans une institution pour jeunes filles, Carla, une des pensionnaires, a été étranglée puis défenestrée. Dans cet univers uniquement féminin, la Crim’ s’intéresse de très près au professeur de français, Pierre Masson, bel homme au fort charisme. En interrogeant son épouse, la surveillante générale de la pension, les lieutenants apprennent que Pierre et Carla étaient amants. Le crime est certes lié à la jalousie, mais la coupable n’est pas celle qu’on croit. Marie, camarade de classe de Carla, couchait sur son journal intime ses pensées les plus secrètes pour le professeur. Carla avait subtilisé ce journal pour reprendre à son compte les belles phrases de Marie dans des lettres pour Masson, évidemment sensible à la prose. Marie n’a pas supporté que Carla lui vole ce qu’elle avait de plus précieux. Elle s’est jetée sur elle et l’a étranglée. Pour la protéger, Inès, une autre pensionnaire avec laquelle Marie entretenait une amitié indestructible, a jeté le corps par la fenêtre., Dans une institution pour jeunes filles, Carla, une des pensionnaires, a été étranglée puis défenestrée. Dans cet univers uniquement féminin, la Crim’ s’intéresse de très près au professeur de français, Pierre Masson. En interrogeant son épouse, la surveillante générale de la pension, les lieutenants apprennent que Pierre et Carla étaient amants. Le crime est certes lié à la jalousie, mais la coupable n’est pas celle qu’on croit. Marie, camarade de classe de Carla, couchait sur son journal intime ses pensées les plus secrètes pour le professeur. Carla avait subtilisé ce journal pour reprendre à son compte les phrases de Marie dans des lettres pour Masson., La Crim’ enquête sur le meurtre de Carla, pensionnaire d’une institution pour jeunes filles, qui a été étranglée, puis défenestrée. Leurs investigations sur place conduisent les policiers à s’intéresser de très près à Pierre Masson, professeur de français, un des seuls hommes présents au sein de l’établissement et élégant spécimen de son espèce. L’épouse du séducteur, elle aussi employée au pensionnat, avoue aux enquêteurs que son mari était l’amant de la victime. De là à penser qu’il s’agit d’un crime passionnel, il n’y a qu’un pas ! Mais en poursuivant cette piste, l’équipe va bientôt innocenter Pierre…, Dans une institution pour jeunes filles, Carla, une des pensionnaires, a été étranglée puis défenestrée. Dans cet univers uniquement féminin, la Crim’ s’intéresse de très près au professeur de français, Pierre Masson, bel homme au fort charisme. En interrogeant son épouse, la surveillante générale de la pension, les lieutenants apprennent que Pierre et Carla étaient amants. Le crime est certes lié à la jalousie, mais la coupable n’est pas celle qu’on croit., Dans une institution pour jeunes filles, Carla, une des pensionnaires, a été étranglée puis défenestrée. Dans cet univers uniquement féminin, la Crim’ s’intéresse de très près au professeur de Français, Pierre Masson, bel homme au fort charisme. En interrogeant son épouse, la surveillante générale de la pension, les lieutenants apprennent que Pierre et Carla étaient amants. Le crime est certes lié à la jalousie, mais la coupable n’est pas celle qu’on croit. Marie, camarade de classe de Carla, couchait sur son journal intime ses pensées les plus secrètes pour le professeur. Carla avait subtilisé ce journal pour reprendre à son compte les belles phrases de Marie dans des lettres pour Masson, évidemment sensible à la prose. Marie n’a pas supporté que Carla lui vole ce qu’elle avait de plus précieux. Elle s’est jetée sur elle et l’a étranglée. Pour la protéger, Inès, une autre pensionnaire avec laquelle Marie entretenait une amitié indestructible, a jeté le corps par la fenêtre.