Le boulanger de Valorgue

Le boulanger, Félicien Hébrard, a un fils : Justin. La veuve Zanetti, l’épicière, a une fille, Françoise. Les deux jeunes gens se fréquentent, en cachette. La veille de son départ au service militaire, Justin est subrepticement monté dans la chambre de Françoise… Dix mois plus tard, Françoise revient d’Italie avec un bébé qu’elle affirme être de Justin. Valorgue, jusqu’alors endormie sous le soleil, bascule dans la guerre civile ! En effet, le boulanger nie la culpabilité de son fils et accuse Françoise et sa mère d’exercer un ignoble chantage. Indignées, les deux femmes trouvent un ardent défenseur en la personne de M. Aussel, le receveur des postes, qui prend la tête d’une croisade anti-Félicien ! Celui-ci réplique en refusant de vendre son pain aux membres du “Comité Central des Épiciéristes”…, Le boulanger, Félicien Hébrard, a un fils : Justin. La veuve Zanetti, l’épicière, a une fille, Françoise. Les deux jeunes gens se fréquentent, en cachette. La veille de son départ au service militaire, Justin est subrepticement monté dans la chambre de Françoise…, Justin, fils de Félicien Hébrard, le boulanger de Valorgue, courtise Françoise, la fille de l’épicier. Tout ceci ne plaît pas à Félicien qui assiste ravi au départ de son fils pour le service militaire en Afrique du Nord. Par dépit, Françoise quitte aussi le village. Elle revient, dix mois plus tard, un bébé sur les bras. On accuse Justin d’être le père, ce qui provoque bientôt une véritable révolution à Valorgue. Deux clans s’opposent : les “boulangiéristes” contre les “épiciéristes”. L’affaire s’envenime. François s’enfuit avec l’enfant. Le boulanger part à leur recherche et, séduit par le bambin, revient au village et oblige son fils Justin à épouser Françoise., Un petit village provençal est partagé entre deux clans, celui du boulanger et celui de l’épicière. Les deux commerçants ne veulent pas servir les partisans de l’adversaire. Fernandel. Un film d’Henri Verneuil., Valorgue est en liesse : Justin Hebrard, le fils du boulanger Félicien, vient d’arriver premier dans le Grand Prix Cycliste régional. Justin, devant partir le lendemain à Alger pour son service militaire, se glisse le soir sous les fenêtres de l’épicerie pour faire ses adieux à la petite Françoise Zanetti. Au printemps suivant, Françoise, ayant passé quelque temps au pays natal de sa mère, revient en compagnie d’un joli bébé. Apprenant la vérité, Madame Zanetti se précipite dans la boulangerie mais Félicien, furieux, la met dehors. Dès lors, deux camps s’affrontent. Félicien refuse de vendre du pain à ses adversaires et Madame Zanetti ne vend plus ses produits aux “boulangistes” . Un certain Courtecuisse, croyant profiter de la querelle, s’amène avec sa camionnette remplie de pains et d’épicerie qu’il vend au prix fort. D’où une véhémente bagarre. Le Maire s’en mêle., Justin, le fils de Félicien Hébrard, le boulanger de Valorgue, courtise Françoise, la fille de l’épicier. Tout ceci ne plaît guère à Félicien qui assiste, ravi, au départ de son fils pour le service militaire en Afrique du Nord. Par dépit, Françoise quitte aussi le village. Elle revient, dix mois plus tard, un bébé sur les bras. On accuse Justin d’être le père, ce qui provoque bientôt une véritable révolution à Valorgue. Deux clans s’opposent : les “boulangiéristes” contre les “épiciéristes”…, Scandale au pays des cigales ! Scandale à Valorgue, hameau des Bouches-du-Rhône comptant 323 âmes : Françoise, la fille de Madame Zanetti, l’épicière du cru, est enceinte des oeuvres de Justin, le fils de Monsieur Hébrard, le boulanger local ! En l’absence de l’impudent jeune homme, appelé sous les drapeaux, la bourgade se retrouve divisée en deux camps, avec, d’un côté, les partisans du boulanger, et, de l’autre, ceux de l’épicière ! Si Justin est parti faire la guerre en Algérie, son patelin natal ne va pas tarder, lui aussi, à basculer dans de graves hostilités, civiles celles-là !…, Valorgue est en émoi : le fils du boulanger a mis enceinte la fille de l’épicier, avant de s’exiler en Algérie. L’opinion est divisée. Les uns prennent fait et cause pour le fils, et se voient du même coup interdire d’accès à l’épicierie, alors que d’autres défendent la jeune femme et deviennent indésirables chez le boulanger.