Le tatoué

C’est bien connu : ” Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ” Alors qu’il vient d’acquérir une toile chez le peintre Dubois, le richissime marchand de tableaux Félicien Mézeray tombe en pamoison devant un véritable Modigliani, qu’il se jure d’acheter au plus tôt. Le problème, c’est que cette oeuvre originale est tatouée sur le dos de Legrain, un ancien légionnaire irascible et taciturne servant de modèle occasionnel à Dubois ! Bien que le vieil homme refuse mordicus de ” vendre sa peau “, l’avide Mézeray négocie aussitôt son auguste tatouage à deux collectionneurs américains, s’assurant ainsi un plantureux acompte. Sidéré par l’acharnement de Félicien, qui veut absolument obtenir sa signature, Legrain consent au marché, à une seule condition : que Mézeray restaure de fond en comble sa ‘petite’ maison de campagne sise en plein Périgord Noir… Le collectionneur ravi ignore qu’en fait de modeste masure, il s’agit d’un authentique château du XVIème siècle en ruines !, Brocanteur enrichi dans le commerce des peintures naïves, Félicien Mézeray découvre un jour un autenthique Modigliani tatoué sur le dos de Legrain, ancien légionnaire bougon et coléreux. Bien que celui-ci refuse mordicus de ” vendre sa peau “, l’avide Mézerzy négocie aussitôt son auguste tatouage à deux collectionneurs américains, s’assurant ainsi un plantureux acompte., Félicien Mézeray, marchand de tableaux richissime rencontre chez le peintre Dubois, un ancien légionnaire du nom de Legrain, venu se faire portraiturer, et qui porte sur le dos un magnifique tatouage de Modigliani. Malgré le refus de Legrain de « vendre sa peau », Mézeray négocie le tatouage à deux collectionneurs américains. Il lui faut maintenant obtenir la signature de Legrain, lequel, stupéfait par le fol acharnement de Mézeray, finit par accepter le marché à condition qu’il restaure sa maison de campagne de fond en comble. S’ensuivent deux jours de trajet dans un vieux tacot pour gagner cette résidence secondaire, qui n’est autre que le château de Montignac. Legrain en est le dernier comte, engagé à la légion sous le nom de jeune fille de sa mère. Petit à petit, Mézeray prend goût à la vie de château : course-poursuites de pillards à la mitraillette, exercice et bonne chère. La signature est enfin obtenue – malgré des quiproquos causés par les américains – le tatouage est finalement vendu en viager au musée de Boston et les deux hommes deviennent les meilleurs amis du monde., Félicien Mézeray, marchand de tableaux richissime, rencontre un légionnaire du nom de Legrain, qui porte sur le dos un magnifique tatouage de Modigliani. Malgré le refus de Legrain de “vendre sa peau”, Mézeray négocie aussitôt le tatouage à deux collectionneurs américains, Smith et Larsen. Il lui faut maintenant obtenir la signature de Legrain, lequel, stupéfié par le fol acharnement de Mézeray, finit par accepter le marché à condition qu’il restaure sa maison de campagne de fond en comble., Félicien Mézeray, un riche marchand de tableaux, découvre sur le dos de Legrain, un ancien légionnaire, un tatouage exécuté par Modigliani. Désirant l’aquérir à tout prix, en échange il propose à Legrain de restaurer sa vieille maison en ruines., Un vendeur de tableaux achète un Modigliani qui est tatoué sur le dos d’un ancien légionnaire., Félicien Mezeray, brocanteur d’art, découvre un jour un authentique Modigliani. Autant dire que la fortune est à lui. Enfin presque. Car l’œuvre a été tatouée sur le dos d’un ex-légionnaire bougon et colérique, qui n’a cure des manigances de Mezeray. Ce dernier est prêt à tout pour arriver à ses fins, même à retaper la maison de campagne du légionnaire, qui s’avère être un château du 16ème siècle en ruines.