Les roseaux sauvages

En 1962, en pleine guerre d’Algérie, alors que les attentats OAS se multiplient, l’intrusion d’un garçon pied-noir exilé va bouleverser la vie paisible de l’internat du lycée où il est accueilli., En 1962, quatre adolescents vivent leurs premiers amours. Elodie Bouchez, Gael Morel, Stephane Rideau, Frederic Gorny. Un film d’Andre Techine., 1962. Maïté, François et Serge sont élèves au lycée de Villeneuve-sur-Lot, dans le Sud Ouest de la France. Henri, pied-noir exilé qui vient d’arriver au lycée, sème le trouble dans les esprits par son attitude révoltée. Son apparition va aider ses camarades à mieux se connaître et se comprendre. Le frère de Serge qui vient de se marier est tué à la guerre. Communiste convaincue, Madame Alvarez, la mère de Maïté fait une dépression nerveuse car elle se sent coupable de ce décès parce qu’elle a refusé de l’aider à déserter. Serge cherche, quant à lui, l’âme soeur qui l’aidera à s’occuper de la ferme familiale., Maïté, Serge, François et Henri, le pied noir exilé, vivent dans une petite ville du Sud-Ouest. La guerre d’Algérie et le baccalauréat occupent les esprits. Entre les murs de l’internat ou au milieu des roseaux sauvages, les passions politiques se mêlent aux passions amoureuses…, Maïté, Serge, François et Henri, un algérien exilé, vivent dans une petite ville du sud-ouest de la France. Ils sont préoccupés par la guerre d’Algérie et par leur Bac. À l’internat ou sur les rives de la Garonne, au milieu des roseaux sauvages, ils confrontent avec passion, idées politiques et sentiments., 1962, le Sud-Ouest de la France, à la fin de l’année scolaire. Une noce à la campagne. François et Maïté, des camarades de lycée, y sont invités avec Madame Alvarez, mère de Maïté, professeur et militante communiste. Le marié, Pierre, ne voudrait pas partir pour l’Algérie., 1962, le Sud-Ouest de la France, à la fin de l’année scolaire. Une noce à la campagne. François et Maïté, des camarades de lycée, y sont invités avec Madame Alvarez, mère de Maïté, professeur et militante communiste. Le marié, Pierre, ne voudrait pas partir pour l’Algérie. Dans la classe, il y a aussi Henri, plus âgé, Pied-noir d’origine, qui a connu la violence, a vu son père mort, le visage arraché par une grenade. Il en veut aux Français qui ont abandonné les siens et il sympathise avec l’OAS, ce qui l’oppose à Madame Alvarez, l’éloigne de ses études et l’isole, l’oreille collée à son transistor pour écouter les nouvelles d’Alger. Au lycée, le bac se prépare. La présence d’Henri va faire éclater des conflits latents et révéler chacun, sentimentalement et politiquement : confirmation de l’attirance de François pour les garçons, dépression nerveuse de Madame Alvarez, perdue entre ses convictions et la complexité des situations, haine de Serge à l’égard d’Henri quand son frère est tué par l’OAS. Monsieur Morelli, nouveau professeur rapatrié d’Algérie et dont la femme est Arabe, tente sans succès d’aider Henri. Ce dernier décide d’abandonner ses études et de rejoindre sa mère à Marseille. Auparavant, une partie de campagne et une baignade dans la rivière auront apaisé les tensions et réconcilié les adolescents. Tandis que François et Serge s’ébrouent dans l’eau. Maïté se donne à Henri, dont, pourtant, tout l’éloignait. François, Maïté et Serge se séparent d’Henri qui part, seul., 1962. Les accords d’Évian sont signés et le peuple algérien accède à l’indépendance. Dans le sud-ouest de la France, François, brillant élève, prépare son bac. Il est partagé entre son attirance pour Maïté et pour Serge, un garçon d’origine paysanne, qui l’a entraîné, un soir, à l’internat, dans une relation homosexuelle. Dans la classe se trouve également Henri, un pied-noir exilé qui en veut aux Français. Sa présence va faire éclater des conflits latents et révéler chacun à soi-même…