Secours dans le Grand Nord
Température glaciale, vents puissants, zones isolées, glace, neige et animaux menaçants ce n’est qu’un aperçu des conditions avec lesquelles les secouristes qui doivent mener des opérations de sauvetage doivent composer dans le Grand Nord, que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe. Les possibilités de secours, au Canada, sont aussi vastes que le pays lui-même. À l’extrême Nord du pays, sur l’ile de Baffin, là où le pays est recouvert de glace dix mois par an, il faut bien aller secourir aussi les pécheurs ou les randonneurs qui ont cru que l’Arctique était un simple parcours de santé. Les ours blancs, les avalanches, le passage des cours d’eau dangereux, la glace mince, l’hypothermie, peuvent pourtant surgir. L’inaccessibilité et le peu de moyens de communications fiables sont quelques-uns des dangers auxquels on peut faire face au Nunavut. Ici, la Gendarmerie Royale du Canada et les Rangers unissent leur force pour parvenir à sauver des vies sur un territoire encore plus vaste que l’Europe., Dans le Grand Nord, les secouristes doivent affronter température glaciale, vents puissants, neige et animaux sauvages sur leurs sites d’intervention., Température glaciale, vents puissants, zones isolées, glace, neige et animaux menaçants : ce n’est qu’un aperçu des conditions avec lesquelles les secouristes qui doivent mener des opérations de sauvetage doivent composer dans le Grand Nord, que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe. Les possibilités de secours, au Canada, sont aussi vastes que le pays lui-même. À l’extrême Nord du pays, sur l’ile de Baffin, là où le pays est recouvert de glace dix mois par an, il faut bien aller secourir aussi les pécheurs ou les randonneurs qui ont cru que l’Arctique était un simple parcours de santé. Les ours blancs, les avalanches, le passage des cours d’eau dangereux.
