Les valseuses

Deux voyous et une jeune coiffeuse partent à l’aventure. Miou-Miou, Gérard Depardieu, Patrick Dewaere. Réalisation : Bertrand Blier., Dans les années 1970, Jean-Claude et Pierrot sont deux voyous qui tuent le temps comme ils peuvent en commettant des larcins. Un jour, ils “empruntent” une DS pour faire un tour, puis la replacent à l’endroit même où ils l’avaient dérobée. Mais le propriétaire, patron d’un salon de coiffure, les surprend à leur retour et les menace avec un revolver en attendant l’arrivée de la police. Jean-Claude et Pierrot parviennent à s’enfuir, mais ce dernier est légèrement blessé par un coup de feu. Dans leur fuite, ils emmènent Marie-Ange, l’employée et maîtresse du patron du salon de coiffure. Commence alors une fuite en avant pour le trio. Adaptation du roman homonyme de Bertrand Blier., Dans la France des années 1970, Jean-Claude et Pierrot sont deux voyous qui tuent le temps comme ils peuvent en commettant des larcins. Après avoir harcelé une dame avec un chariot de supermarché et lui avoir volé son sac, ils “empruntent” une DS pour faire un tour, puis la replacent à l’endroit même où ils l’avaient dérobée. Le propriétaire, patron d’un salon de coiffure, les surprend à leur retour et les braque avec un revolver en attendant l’arrivée de la police. Jean-Claude et Pierrot parviennent à s’enfuir, mais ce dernier est légèrement blessé par un coup de feu. Dans leur fuite, ils emmènent Marie-Ange, l’employée et maîtresse du patron du salon de coiffure. Commence alors une fuite en avant pour le trio., Jean-Claude et Pierrot, deux jeunes loubards, terrorisent pour s’amuser tout leur quartier. Le coiffeur à qui ils avaient volé une voiture blesse Pierrot. Les deux compères parviennent à s’échapper, entraînant dans leur fuite Marie-Ange, la maîtresse dudit coiffeur. Cette généreuse jeune fille ne rechigne pas à donner aux autres le plaisir qu’elle semble incapable de ressentir elle-même., Jean-Claude et Pierrot, deux loulous de HLM ont pour devise : “Ne rien faire et rigoler”. Ils piquent les sacs des petites vieilles et volent des voitures. Un jour qu’ils ramènent un véhicule emprunté pour une virée, ils sont attendus par le propriétaire et un P38 tout neuf. Pierrot reçoit une balle dans les “valseuses”. Ils se fait soigner par un chirurgien qu’il remercie en le dépouillant. Commence alors une cavale tumultueuse et riche en péripéties pour Jean-Claude et Pierrot qui ont la police aux trousses mais ne pensent qu’aux filles., Copains comme cochons, deux petites frappes à gueule d’ange cavalent à la recherche d’un peu de distraction. Une ode jouissive à l’anticonformisme et à la truculence, qui souffla un joyeux vent de liberté sur la France d’après 1968. Du côté de Valence, Jean-Claude le costaud plein d’idées et Pierrot le suiveur tuent le temps comme ils peuvent. Après une course-poursuite en Caddie avec une grand-mère terrorisée, ils empruntent une DS le temps d’une balade. Mais à leur retour, le propriétaire ne rigole pas. Pierrot s’en tire avec un pruneau mal logé (dans “les valseuses”). C’est le début d’une cavale lubrique, avec les flics aux trousses et pour devise : “Y a bien un cul qui nous attend quelque part !” En chemin, ils rencontrent Marie-Ange, shampouineuse désespérément frigide, puis une femme à problèmes tout juste sortie de prison…, Jean-Claude et Pierrot, deux jeunes loubards, terrorisent pour s’amuser tout leur quartier. Le coiffeur à qui ils avaient volé une voiture blesse Pierrot. Les deux compères parviennent à s’échapper, entraînant dans leur fuite Marie-Ange, la maîtresse dudit coiffeur. Cette généreuse jeune femme ne rechigne pas à donner aux autres le plaisir qu’elle semble incapable de ressentir elle-même., Jean-Claude et Pierrot, deux loubards de banlieue, font les 400 coups et s’amusent à terroriser les habitants de leur quartier en volant les sacs à main des passantes et les voitures. Un soir, à la suite d’un vol d’une voiture, ils doivent fuir, entraînant avec eux dans leur cavale, Marie-Ange, une fille gentille et peu farouche., Jean-Claude et Pierrot, deux jeunes loubards, terrorisent tout leur quartier pour s’amuser. Le coiffeur à qui ils avaient volé une voiture blesse Pierrot. Les deux compères parviennent à s’échapper, entraînant dans leur fuite Marie-Ange, la maîtresse du coiffeur. Cette généreuse jeune fille ne rechigne pas à donner aux autres le plaisir qu’elle semble incapable de ressentir elle-même., Jean-Claude et Pierrot, deux loubards de banlieue, s’amusent à terroriser les habitants de leur quartier. Un soir, suite au vol d’une voiture, ils doivent fuir, entraînant avec eux Marie-Ange, une fille gentille et peu farouche. C’est le début d’une longue cavale ponctuée d’incidents et de rencontres., Loubards désoeuvrés et féroces, Jean-Claude et Pierrot enlèvent Marie-Ange et partent en cavale… Dans la France des années 70, Jean-Claude et Pierrot, deux loubards blagueurs, féroces et désoeuvrés passent leur temps à bousculer et à chahuter leurs contemporains. Après avoir harcelé une dame avec un chariot de supermarché et lui avoir subtilisé son sac, ils volent une voiture. Ce soir-là, c’est précisément celle du coiffeur qui est l’objet de leurs désirs malhonnêtes. Surpris par le patron du salon, Jean-Claude et Pierrot réussissent à s’enfuir emmenant avec eux, en guise d’otage, Marie-Ange, l’employée et maîtresse du coiffeur. Frigide, charmante et un peu naïve, elle deviendra la compagne commune des deux lascars qui se font un point d’honneur à tenter de la faire jouir. Une longue cavale commence alors pour le trio à travers la France, alternant vols de voitures, scènes cocasses et parfois tragiques…, Jean-Claude et Pierrot, deux jeunes loubards, terrorisent tout leur quartier pour s’amuser. Le coiffeur à qui ils avaient volé une voiture blesse Pierrot. Les deux compères parviennent à s’échapper, entraînant dans leur fuite Marie-Ange, la maîtresse dudit coiffeur. Cette généreuse jeune femme ne rechigne pas à donner aux autres le plaisir qu’elle semble incapable de ressentir elle-même., Jean-Claude et Pierrot, deux petits voyous de banlieue, qui n’ont pas envie de travailler, chapardent à droite et à gauche et terrorisent les gens de leur quartier. Ils ont “emprunté” une voiture pour s’offrir du bon temps et combler leur oisiveté. Le lendemain, en ramenant le véhicule, les deux voyous sont surpris par le propriétaire qui les menace de son revolver. Jean-Claude et Pierrot prennent la chose à la légère, puis, devant la colère de l’automobiliste, décident de s’enfuir. L’homme tire et Pierrot reçoit une balle mal placée et craint de perdre à jamais sa virilité. Cette infirmité passagère n’empêchra pas les deux amis de poursuivre leur série de vols, riquant de plus en plus les représailles des victimes. Marie-Ange, une jeune coiffeuse rencontrée au hasard d’un autre méfait, tente de rassurer Pierrot sur ses réelles capacités de mâle. Malheureusement, c’est elle qui se révèle frigide… /// En 1974, ce fut l’un des coups de tonnerre les plus retentissants dans le paysage du cinéma français. Il a ravi ou indigné, étonné ou fasciné: il n’a, en tout cas, laissé personne indifférent. Dans les salles de rédaction comme dans celles de projection, les spectateurs se divisaient comme pour l’affaire Dreyfus. C’est que “Les Valseuses” est un film fort comme de l’alcool à plus de 60 degrés. Il brûle et il décape. “Les deux loubards, Jean- Claude et Pierrot, agissent exactement comme bon leur semble, avec une frénésie de liberté féroce et l’amoralité joyeuse de l’animal échappé du zoo”, explique le réalisateur “On dirait deux chiens fous; on dirait aussi deux individus inconscients.