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Corbeau blanc
L’adjudant Myriam Jacquemin, dépressive, en arrêt maladie, mettait en danger sa famille par son comportement psychotique. Elle rendait tout le monde responsable du suicide de son mari. Est-elle vraiment morte d’une crise cardiaque ?, L’adjudant Myriam Jacquemin s’effondre en pleine rue, devant son domicile, victime d’une crise cardiaque foudroyante. La Section débarque en pleines funérailles et prend possession du corps, devant des proches stupéfaits. Bernier leur tend une lettre de Myriam, écrite juste avant sa mort : “Piacci m’a tuée”. L’adjudant Myriam Jacquemin, dépressive, était en arrêt maladie et mettait en danger sa famille par son comportement psychotique. Elle rendait tout le monde responsable du suicide de son mari. Souffrait-elle de bouffées délirantes ou, au contraire, avait-elle raison ? Est-elle vraiment morte d’une crise cardiaque ?, L’adjudant Myriam Jacquemin s’effondre devant son domicile, victime d’une crise cardiaque. La Section débarque en pleines funérailles, devant des proches stupéfaits. Bernier leur tend une lettre de Myriam, écrite juste avant sa mort : «Piacci m’a tuée». La victime, dépressive et en arrêt maladie, avait-elle des bouffées délirantes ou avait-elle raison ?, L’adjudant Myriam Jacquemin, dépressive, en arrêt maladie, mettait en danger sa famille par son comportement psychotique. Elle rendait tout le monde responsable du suicide de son mari.
