Le côté sombre de l’univers Ontario-Suisse
Seule une infime partie de ce qui constitue l’Univers nous est connu. Le reste – ou une grande partie du reste – on suppose qu’il est composé d’un élément invisible, non encore détecté : la matière sombre. Les physiciens traquent cette dernière en Ontario, à 2000 mètres de profondeur, dans l’un des plus grands laboratoires du monde et à Genève, à l’aide de la plus grande machine jamais construite., Seule une infime partie de ce qui constitue l’Univers nous est connu. Le reste – ou une grande partie du reste – on suppose qu’il est composé d’un élément invisible, non encore détecté : la matière sombre, que les physiciens traquent en Ontario, à 2000 mètres de profondeur, dans l’un des plus grands laboratoires du monde et à Genève, à l’aide de la plus grande machine jamais construite. C’est là que, pour le cinquième volet de “Sur les Routes de la Science”, Emilie et Marie-Pier les rencontrent. Si ces recherches aboutissent, la science vivra un bouleversement comparable à celui provoqué par Einstein ou Newton.
