Une enfance sous l’occupation

Pour tous les Français, l’Occupation fut un grand traumatisme. Cinq années de crainte, de trahisons et de soumission ont émaillé tout l’Hexagone. Mais dans les campagnes et les village – en dehors des histoires terribles qui se jouent pour quelques-uns –, c’est la vie qui continue. Pour les enfants, le quotidien, c’est encore l’école et les copains. Pourtant, tout a changé. Les professeurs sont remplacés, les programmes repensés, on apprend de nouvelles chansons et à aimer la France du Maréchal. Le gouvernement de Vichy a décidé de faire de l’école un instrument fondamental de la profonde réforme de la société qu’il souhaite entreprendre, jusqu’au plus profond de nos campagnes., Pour tous les Français, l’Occupation fut un grand traumatisme. Cinq années de crainte, de trahisons et de soumission. Mais dans les campagnes et les villages, en dehors des histoires terribles qui se jouent pour quelquesuns, c’est la vie qui continue. Pour les enfants, le quotidien, c’est encore l’école et les copains. Pourtant, tout a changé. Les professeurs sont remplacés, les programmes repensés, on apprend de nouvelles chansons et à aimer la France du Maréchal. Le gouvernement de Vichy a décidé de faire de l’école un instrument fondamental de la profonde réforme de la société qu’il souhaite entreprendre. Après tout, c’est à l’école qu’on formera les patriotes de demain. Comment l’école et les écoliers ont-ils traversé l’Occupation ? Dans ce quotidien d’horreur et d’incertitude, comment peut-on encore être insouciants ?, Sous l’Occupation, les enfants continuent d’aller à l’école mais tout a changé. Durant cette période traumatisante pour les Français, les professeurs sont remplacés, les programmes changés, ils apprennent de nouvelles chanson et aussi à aimer la France.