André Kaas a été accusé d’avoir commandité l’assassinat de sa femme Sylviane, en 1992, dans la région de Rouen. Il faut bien reconnaître qu’il avait le profil du coupable idéal : ce nouveau riche qui étalait sa fortune de manière ostentatoire, fréquentait aussi avec son épouse assidûment les clubs échangistes… A la mort de sa femme, il n’a rien du veuf éploré. Quelques semaines plus tard il installe sa maîtresse dans la maison familiale et, en même temps, il fait le tour des agences matrimoniales à la recherche du sosie de son épouse décédée… Etrange attitude qui laisse place à toutes les suspicions. Fallait-il, pour autant, envoyer en prison André Kass et ses deux hommes de main présumés pendant trois ans ? Trois ans pour un crime qu’ils n’ont pas commis. Pour Faites entrer l’accusé, André Kaas revient sur cette affaire qui a transformé sa vie et celle de ses enfants. Le 5 avril 1992, la famille Kaas part à Rouen pour aller au cinéma. Seule Sylviane, reste à la villa. A leur retour, les Kaas découvrent Sylviane morte, criblée de balles. Sylviane semble s’être battue, les policiers pensent à un cambriolage qui a mal tourné. Mais, très vite, une rumeur prend corps. Et si c’était Kass qui avait tué sa femme… L’enquête piétine jusqu’au jour où, un an et demi après le meurtre de Sylviane, André Kaas est arrêté sur la base de témoignages de petits “dealers” locaux qui l’accusent d’avoir commandité le meurtre de sa femme. Kaas et ses prétendus hommes de main sont emprisonnés. L’enquête, d’abord menée par les gendarmes, est reprise par la brigade des stupéfiants. L’affaire semble “pliée” lorsque Joseph Schmit, procureur fraîchement arrivé à Rouen récupère le dossier et s’y plonge. Avec Christophe Hondelatte, il égrène les incohérences du dossier qui mèneront au non-lieu pour les trois hommes. Aujourd’hui, André Kaas, qui a tout perdu, se bat pour obtenir de l’Etat un dédommagement plus conséquent que les 70 000 euros versés pour les trois ans de prison. L’affaire n’est pas close et le meurtrier de Sylviane Kaas court toujours…, André Kaas a été accusé d’avoir commandité l’assassinat de son épouse Sylviane, en 1992. Ce nouveau riche de la région de Rouen étalait sa fortune au vu de tous et fréquentait régulièrement, avec la défunte, les clubs échangistes, sans se cacher. Il avait le profil du coupable idéal, mais pour condamner quelqu’un, ça ne suffit pas. Le 5 avril 1992, la famille Kaas part au cinéma à Rouen. Seule Sylviane, reste à la villa. A leur retour, les Kaas découvrent son cadavre, criblé de balles. Sylviane semble s’être battu, alors les policiers pensent à un cambriolage qui a mal tourné. Quelques semaines après, le veuf pas vraiment éploré installe sa maîtresse dans la maison familiale et, en même temps, il entreprend le tour des agences matrimoniales à la recherche du sosie de son épouse décédée. Une attitude étrange quialimente la rumeur selon laquelle il aurait commandité le meurtre de Sylviane. L’enquête piétine jusqu’au jour où, un an et demi après le meurtre de Sylviane, André Kaas est arrêté. Des petits “dealers” locaux l’accusent d’avoir commandité le meurtre. Lui et ses prétendus hommes de main sont emprisonnés. Il resteront trois ans derrière les barreaux avant d’être libérés faute de preuves sérieuses. Joseph Schmit, procureur fraîchement arrivé à Rouen récupère le dossier. Avec Christophe Hondelatte, il égrène les incohérences du dossier qui mèneront au non-lieu pour les trois hommes.Aujourd’hui, André Kaas, qui a tout perdu, se bat pour obtenir de l’Etat un dédommagement plus conséquent que les 70000 euros versés pour les 3 ans de prison. Il revient pour ” Faites entrer l’accusé sur l’affaire ” qui a bouleversé sa vie et celle de ses enfants. Le meurtrier de Sylviane Kaas, lui, court toujours., André Kaas a été accusé d’avoir commandité l’assassinat de son épouse Sylviane, en 1992. Ce nouveau riche de la région de Rouen étalait sa fortune au vu de tous et fréquentait régulièrement, avec la défunte, les clubs échangistes, sans se cacher. Il avait le profil du coupable idéal, mais pour condamner quelqu’un, ça ne suffit pas., Le 5 avril 1992, la famille Kaas part au cinéma à Rouen. Seule Sylviane, la mère, reste à la villa. A leur retour, les Kaas découvrent son cadavre, criblé de balles. Sylviane semble s’être battue, les policiers pensent donc à un cambriolage qui a mal tourné.